CHRONIQUE. La supposée supériorité de l’alimentation bio, y compris en termes de santé, est de plus en plus sujette à caution. La promouvoir est un non-sens.

Par Jean de Kervasdoué
Comme nous l’analysions dans notre dernière chronique, la guerre en Ukraine bouleverse les marchés agricoles et l’on peut craindre, dès l’automne prochain, dans plusieurs pays d’Afrique et du Moyen-Orient, des émeutes de la faim et, sans trop de risque, on peut aussi annoncer une croissance mondiale du prix des denrées alimentaires. Cela conduit à poser une nouvelle fois la question des bienfaits de l’agriculture biologique, notoirement mangeuse d’espace et onéreuse pour les consommateurs.
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